DPE encore
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bvco
Bobone
Eric001
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Forum de l'UNDI :: Partie Publique :: Débats publics :: Vie de la Profession :: Le diagnostic immobilier dans la presse
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DPE encore
Un reportage est passé au journal de 13h sur France 2 sur la non fiabilité des DPE (suite à l'enquete d'UFC que choisir).
Une fois de plus nous sommes de vilains petits canards, mais aussi certains propriétaires qui nous donnent de mauvaises informations, d'après l'ODI interrogé... j'ignorai que le DPE était fait sur déclaration du propriétaire
Note positive en fin de reportage, le DPE va être fiabilisé en 2013
Une fois de plus nous sommes de vilains petits canards, mais aussi certains propriétaires qui nous donnent de mauvaises informations, d'après l'ODI interrogé... j'ignorai que le DPE était fait sur déclaration du propriétaire
Note positive en fin de reportage, le DPE va être fiabilisé en 2013
Re: DPE encore
Tu es sûr que c'était sur France 2?
Parce que moi j'en ai vu un sur TF1 où on s'est fait allumer grave...(Sujet suite à l'enquête d'UFC que chaoisir)
Parce que moi j'en ai vu un sur TF1 où on s'est fait allumer grave...(Sujet suite à l'enquête d'UFC que chaoisir)
Bobone- Adhérent
- Messages : 20
Date d'inscription : 25/07/2012
Age : 65
Localisation : 71
Re: DPE encore
En fait, c'était la fête au DPE sur 2 chaines
Sur TF1
http://videos.tf1.fr/jt-13h/trop-de-differences-dans-les-diagnostiques-thermiques-7566256.html
Sur France 2
http://www.france2.fr/jt/13h/ (journal de de 13h du 3/10/12 à partir de 23mn10)
Sur TF1
http://videos.tf1.fr/jt-13h/trop-de-differences-dans-les-diagnostiques-thermiques-7566256.html
Sur France 2
http://www.france2.fr/jt/13h/ (journal de de 13h du 3/10/12 à partir de 23mn10)
Re: DPE encore
Il semble que RMC ait aussi diffusé un reportage sur le DPE ce matin dans la matinale, mais je n'ai pas trouvé de lien pour le replay
Re: DPE encore
merci Eric pour les liens :
Je vais ecrire à Mme Mélanie Beck de l'agence immobilière EM IMMO qui déclare que la classe D est classique !!!! Je voudrais savoir sur quels arguments elle s'appuie pour faire une telle déclaration en public....
GRRRRR
Je vais ecrire à Mme Mélanie Beck de l'agence immobilière EM IMMO qui déclare que la classe D est classique !!!! Je voudrais savoir sur quels arguments elle s'appuie pour faire une telle déclaration en public....
GRRRRR
Re: DPE encore
bvco a écrit:merci Eric pour les liens :
Je vais ecrire à Mme Mélanie Beck de l'agence immobilière EM IMMO qui déclare que la classe D est classique !!!! Je voudrais savoir sur quels arguments elle s'appuie pour faire une telle déclaration en public....
GRRRRR
Qui doit écrire, Bertrand ou l'UNDI?
Re: DPE encore
Peut être l'UNDI peut elle dire à bertrand de proposer un texte,
qu'elle validerait en son nom avec l'accord de ce même bertrand?
qu'elle validerait en son nom avec l'accord de ce même bertrand?
Mout-M- Adhérent
- Messages : 1136
Date d'inscription : 23/07/2012
Age : 47
Localisation : Seine maritime (76)/Oise(60)Haute Normandie/Picardie
Re: DPE encore
oui si l'undi veut ecrire, je lui laisse la place, l'écriture n'est pas mon point fort....
Re: DPE encore
C'est qui l'UNDI?
C'est bvco, c'est eric001, c'est les autres aussi.
Tu avais envie d'écrire, bvco?
Je t'encourage à coucher sur le papier (ou l'écran) ce que tu voulais dire et à le partager ici. Si ce n'est pas parfait (rien n'est jamais parfait), je suis certain que nous l’améliorerons ensemble et ça feras au moins un point de départ, une base de travail.
Mme Mélanie Beck est l'une des interviewée du reportage. Qu'elle dise des contrevérités sur le DPE n'est pas grave en soi, c'est son point de vue. Ce qui est grave c'est que le(s) journaliste(s) retienne(nt) son point de vue sur ce sujet, et le fasse ainsi passer pour un fait avéré.
Pour moi, si l'on écrit à Mme Beck, il faut en faire copie au(x) journaliste(s) qui ont commis ça.
C'est bvco, c'est eric001, c'est les autres aussi.
Tu avais envie d'écrire, bvco?
Je t'encourage à coucher sur le papier (ou l'écran) ce que tu voulais dire et à le partager ici. Si ce n'est pas parfait (rien n'est jamais parfait), je suis certain que nous l’améliorerons ensemble et ça feras au moins un point de départ, une base de travail.
Mme Mélanie Beck est l'une des interviewée du reportage. Qu'elle dise des contrevérités sur le DPE n'est pas grave en soi, c'est son point de vue. Ce qui est grave c'est que le(s) journaliste(s) retienne(nt) son point de vue sur ce sujet, et le fasse ainsi passer pour un fait avéré.
Pour moi, si l'on écrit à Mme Beck, il faut en faire copie au(x) journaliste(s) qui ont commis ça.
christophe67- Adhérent
- Messages : 938
Date d'inscription : 22/07/2012
Localisation : 71 - Saone-et-Loire - Bourgogne
lettre ouverte de Diagamter
Bonjour
Je me permets de relayer la lettre ouverte aux média grand public qui a été faite par le président de Diagamter en réaction à l'article paru dans UFC-Que Choisir. A la fois pour que vous sachiez qu'elle éxiste et permettre de réagir.
Cette article est disponible sur le réseau social VIADEO dont voici le lien :
http://www.viadeo.com/fr/groups/detaildiscussion/?containerId=0023zwl08bk80xv&forumId=002wcuhluryzsa1&action=messageDetail&messageId=002ud3f08ykc8hb&ga_from=Fu:undefined;Fb:tab-hubs;Fe:Next;MNType:10;
(désolé pour la longueur du texte)
M. EXBRAYAT, président de DIAGAMTE, le 4 octobre 2012.
"L’emballement
médiatique, provoqué par l’enquête UFC-Que Choisir publiée cette
semaine, interpelle le monde du diagnostic immobilier sur la crédibilité
et la solvabilité des actes qu’il délivre à ses clients, à s’interroger
sur sa propre action pour apporter plus de garanties au consommateur.
Ce n’est malheureusement pas une révélation, tant les signes de
non-qualité sont perçus régulièrement, ne serait-ce qu’en examinant les
étiquettes du diagnostic de performance énergétique (Dpe) « étonnamment
bonnes » visibles tous les jours sur le marché.
Cette enquête utile n’appelle-t-elle pas chacun, en responsabilité ?
Au
premier chef, bien sûr, les diagnostiqueurs. Se former, se mettre à
jour en permanence, respecter des exigences réglementaires maîtrisées,
avoir le respect de son travail et de ses clients…Refuser l’arrangement,
souvent sollicité, de l’étiquette Dpe –mais aussi de m²
supplémentaires, absences d’anomalies, …- car cela présenterait peu de
risque et satisferait le client. On le voit, l’effet « boomerang » est
dévastateur, et aucune profession réglementaire ne peut prospérer sans
éthique, sans ce crédit nécessaire à l’acceptation de la valeur de son
travail.
Les diagnostiqueurs seuls responsables ?
Non bien
sûr ! Les organisations du diagnostic immobilier, qu’elles soient
professionnelles, ou commerciales ont l’impérieuse mission d’une
vigilance permanente sur toute tentation systémique du diagnostiqueur à
sortir de son indépendance et de son impartialité. Les comportements
isolés, s’ils sont inévitables, doivent être traités avec sévérité par
tous les acteurs de la profession (état, fédérations professionnelles,
organisme de certification, professionnels de l’immobilier).
Aujourd’hui, malheureusement ce n’est pas le cas !
En ce qui nous
concerne, Diagamter, membre fondateur et administrateur de la FIDI,
Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier, fera des
propositions à ses confrères en ce sens.
Les sociétés commerciales,
telles que la nôtre, je pense ici aux réseaux en franchise et autres
acteurs nationaux, doivent jouer leur rôle de garant vis-à-vis du
marché. Notre réseau de 110 franchisés, 250 techniciens, délivre à ses
cabinets des autorisations d’exercer pour chaque type de diagnostic,
après passage d’examens sanctionnant une véritable formation. Cette
autorisation d’exercer s’accompagne d’une obligation de formation
continue à minima de 8 demi-journées par an en maintien de savoir-faire.
Cela ne suffit pas. Diagamter mène en permanence un contrôle de
qualité, notre équipe d’ingénieurs bâtiment fournit une assistance
technique aux opérateurs. Ce sont de vrais choix d’entreprise, des
dépenses assumées aux bénéfices du consommateur. Cette exigence est la
garantie de diagnostics irréprochables.
Pourquoi ces mesures à Diagamter ?
La
seule certification des opérateurs n’est pas une condition suffisante
pour garantir au consommateur un diagnostic irréprochable, comme le
confirme l’enquête d’UFC-Que Choisir.
En agissant de la sorte, Diagamter créée de la valeur, la valeur de la confiance en notre marque.
Les professionnels de l’immobilier ont-ils un rôle clé à jouer ?
A
l’évidence, au-delà, des diagnostiqueurs et de leurs organisations,
nous ne pourrons agir durablement qu’en parfaite compréhension avec tous
les acteurs de l’immobilier. A cet effet, Diagamter adresse
régulièrement des actualités aux professionnels de l’immobilier
–disponibles aussi sur www.diagamter.com- pour les aider à apprécier
qualitativement la consistance des diagnostics qu’ils annexent à leurs
actes. Dans un marché immobilier en profonde mutation et soumis à une
conjoncture dépréciée, c’est bien par du service à valeur ajoutée, de
l’information fiable et sincère, que nous pourrons rassurer les vendeurs
et les acquéreurs.
Et les pouvoirs publics dans cette affaire ?
La
constitution d’une base nationale des Dpe par l’ADEME doit déboucher
sur des statistiques nationales et régionales du classement énergétique
des logements. Il faut communiquer ces données au marché. Ce n’est pas
suffisant. Il faut également renforcer les contrôles, au demeurant
simples sur des bases statistiques, des étiquettes Dpe affichées dès la
mise en vente depuis janvier 2011. L’absence de véritable contrôle, sauf
manifestement celui de la presse, fait la part belle aux
diagnostiqueurs insuffisamment professionnels. Constater cela, c’est
s’interroger sur le véritable rôle des organismes de certification,
pourtant accrédités par le COFRAC, et qui n’ont pas les moyens de faire
un suivi efficace pendant les 4 années dites de « surveillance »
post-certification.
Au crédit des pouvoirs publics, la refonte
du Dpe qui interviendra en janvier 2013, la validation des logiciels de
calcul sur le marché, et une refonte de la certification Dpe vers plus
de pré-requis, de formations, et une certification Dpe avec mention pour
certains types de biens.
Quid du consommateur ?
Enfin,
le consommateur, ou plutôt le consomm’acteur, ne peut éluder sa propre
responsabilité lorsqu’il recherche le prix le plus bas possible, sans
discernement sur ce qu’il obtiendra, au moment de l’achat le plus
important de sa vie. Est-il raisonnable d’économiser 50 ou 100 euros sur
un diagnostic qui représente 0,1% du prix du bien que l’on vend ? On
accepte volontiers 0,4% sur un contrôle technique automobile (60
euros/15 000 euros prix véhicule) alors que ce n’est pas un élément
significatif de son patrimoine ? Cette recherche absolue du prix permet à
un marché dit « low-cost » de prospérer en diagnostic immobilier. Je le
dis au consommateur, il n’existe pas de « low-cost » en diagnostic
immobilier, comme dans tous les métiers d’expertise : Notre profession,
reconnue désormais comme équivalent Bac+2 ne peut délivrer de
prestations fiables à des taux horaires inférieurs à 70-80 euros TTC.
Or, il faut 3 à 4 heures de travail pour une maison ou un appartement
familial. Que vous vend-on pour moins de 200 euros TTC ? En fait, pas
assez de temps, et pas assez de compétences… donc du risque, sur une
opération à fort enjeu.
Nous le voyons, chacun doit travailler, à
son niveau, sur les conditions nécessaires à l’exercice d’une
profession récente, plus tout à fait nouvelle – elle a 15 ans- et
exposée à l’exigence de fiabilité par le consommateur.
Au sein du
réseau Diagamter, nous œuvrons tous les jours pour garantir à chacun
ses droits et ses devoirs, et fournir des diagnostics irréprochables.
Guillaume EXBRAYAT
Président
DIAGAMTER France
[email=//guillaume.exbrayat@diagamter.com]guillaume.exbrayat@diagamter.com[/email]
Je me permets de relayer la lettre ouverte aux média grand public qui a été faite par le président de Diagamter en réaction à l'article paru dans UFC-Que Choisir. A la fois pour que vous sachiez qu'elle éxiste et permettre de réagir.
Cette article est disponible sur le réseau social VIADEO dont voici le lien :
http://www.viadeo.com/fr/groups/detaildiscussion/?containerId=0023zwl08bk80xv&forumId=002wcuhluryzsa1&action=messageDetail&messageId=002ud3f08ykc8hb&ga_from=Fu:undefined;Fb:tab-hubs;Fe:Next;MNType:10;
(désolé pour la longueur du texte)
M. EXBRAYAT, président de DIAGAMTE, le 4 octobre 2012.
"L’emballement
médiatique, provoqué par l’enquête UFC-Que Choisir publiée cette
semaine, interpelle le monde du diagnostic immobilier sur la crédibilité
et la solvabilité des actes qu’il délivre à ses clients, à s’interroger
sur sa propre action pour apporter plus de garanties au consommateur.
Ce n’est malheureusement pas une révélation, tant les signes de
non-qualité sont perçus régulièrement, ne serait-ce qu’en examinant les
étiquettes du diagnostic de performance énergétique (Dpe) « étonnamment
bonnes » visibles tous les jours sur le marché.
Cette enquête utile n’appelle-t-elle pas chacun, en responsabilité ?
Au
premier chef, bien sûr, les diagnostiqueurs. Se former, se mettre à
jour en permanence, respecter des exigences réglementaires maîtrisées,
avoir le respect de son travail et de ses clients…Refuser l’arrangement,
souvent sollicité, de l’étiquette Dpe –mais aussi de m²
supplémentaires, absences d’anomalies, …- car cela présenterait peu de
risque et satisferait le client. On le voit, l’effet « boomerang » est
dévastateur, et aucune profession réglementaire ne peut prospérer sans
éthique, sans ce crédit nécessaire à l’acceptation de la valeur de son
travail.
Les diagnostiqueurs seuls responsables ?
Non bien
sûr ! Les organisations du diagnostic immobilier, qu’elles soient
professionnelles, ou commerciales ont l’impérieuse mission d’une
vigilance permanente sur toute tentation systémique du diagnostiqueur à
sortir de son indépendance et de son impartialité. Les comportements
isolés, s’ils sont inévitables, doivent être traités avec sévérité par
tous les acteurs de la profession (état, fédérations professionnelles,
organisme de certification, professionnels de l’immobilier).
Aujourd’hui, malheureusement ce n’est pas le cas !
En ce qui nous
concerne, Diagamter, membre fondateur et administrateur de la FIDI,
Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier, fera des
propositions à ses confrères en ce sens.
Les sociétés commerciales,
telles que la nôtre, je pense ici aux réseaux en franchise et autres
acteurs nationaux, doivent jouer leur rôle de garant vis-à-vis du
marché. Notre réseau de 110 franchisés, 250 techniciens, délivre à ses
cabinets des autorisations d’exercer pour chaque type de diagnostic,
après passage d’examens sanctionnant une véritable formation. Cette
autorisation d’exercer s’accompagne d’une obligation de formation
continue à minima de 8 demi-journées par an en maintien de savoir-faire.
Cela ne suffit pas. Diagamter mène en permanence un contrôle de
qualité, notre équipe d’ingénieurs bâtiment fournit une assistance
technique aux opérateurs. Ce sont de vrais choix d’entreprise, des
dépenses assumées aux bénéfices du consommateur. Cette exigence est la
garantie de diagnostics irréprochables.
Pourquoi ces mesures à Diagamter ?
La
seule certification des opérateurs n’est pas une condition suffisante
pour garantir au consommateur un diagnostic irréprochable, comme le
confirme l’enquête d’UFC-Que Choisir.
En agissant de la sorte, Diagamter créée de la valeur, la valeur de la confiance en notre marque.
Les professionnels de l’immobilier ont-ils un rôle clé à jouer ?
A
l’évidence, au-delà, des diagnostiqueurs et de leurs organisations,
nous ne pourrons agir durablement qu’en parfaite compréhension avec tous
les acteurs de l’immobilier. A cet effet, Diagamter adresse
régulièrement des actualités aux professionnels de l’immobilier
–disponibles aussi sur www.diagamter.com- pour les aider à apprécier
qualitativement la consistance des diagnostics qu’ils annexent à leurs
actes. Dans un marché immobilier en profonde mutation et soumis à une
conjoncture dépréciée, c’est bien par du service à valeur ajoutée, de
l’information fiable et sincère, que nous pourrons rassurer les vendeurs
et les acquéreurs.
Et les pouvoirs publics dans cette affaire ?
La
constitution d’une base nationale des Dpe par l’ADEME doit déboucher
sur des statistiques nationales et régionales du classement énergétique
des logements. Il faut communiquer ces données au marché. Ce n’est pas
suffisant. Il faut également renforcer les contrôles, au demeurant
simples sur des bases statistiques, des étiquettes Dpe affichées dès la
mise en vente depuis janvier 2011. L’absence de véritable contrôle, sauf
manifestement celui de la presse, fait la part belle aux
diagnostiqueurs insuffisamment professionnels. Constater cela, c’est
s’interroger sur le véritable rôle des organismes de certification,
pourtant accrédités par le COFRAC, et qui n’ont pas les moyens de faire
un suivi efficace pendant les 4 années dites de « surveillance »
post-certification.
Au crédit des pouvoirs publics, la refonte
du Dpe qui interviendra en janvier 2013, la validation des logiciels de
calcul sur le marché, et une refonte de la certification Dpe vers plus
de pré-requis, de formations, et une certification Dpe avec mention pour
certains types de biens.
Quid du consommateur ?
Enfin,
le consommateur, ou plutôt le consomm’acteur, ne peut éluder sa propre
responsabilité lorsqu’il recherche le prix le plus bas possible, sans
discernement sur ce qu’il obtiendra, au moment de l’achat le plus
important de sa vie. Est-il raisonnable d’économiser 50 ou 100 euros sur
un diagnostic qui représente 0,1% du prix du bien que l’on vend ? On
accepte volontiers 0,4% sur un contrôle technique automobile (60
euros/15 000 euros prix véhicule) alors que ce n’est pas un élément
significatif de son patrimoine ? Cette recherche absolue du prix permet à
un marché dit « low-cost » de prospérer en diagnostic immobilier. Je le
dis au consommateur, il n’existe pas de « low-cost » en diagnostic
immobilier, comme dans tous les métiers d’expertise : Notre profession,
reconnue désormais comme équivalent Bac+2 ne peut délivrer de
prestations fiables à des taux horaires inférieurs à 70-80 euros TTC.
Or, il faut 3 à 4 heures de travail pour une maison ou un appartement
familial. Que vous vend-on pour moins de 200 euros TTC ? En fait, pas
assez de temps, et pas assez de compétences… donc du risque, sur une
opération à fort enjeu.
Nous le voyons, chacun doit travailler, à
son niveau, sur les conditions nécessaires à l’exercice d’une
profession récente, plus tout à fait nouvelle – elle a 15 ans- et
exposée à l’exigence de fiabilité par le consommateur.
Au sein du
réseau Diagamter, nous œuvrons tous les jours pour garantir à chacun
ses droits et ses devoirs, et fournir des diagnostics irréprochables.
Guillaume EXBRAYAT
Président
DIAGAMTER France
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Re: DPE encore
Merci Pascal85 pour ce relais
il me semble que cette réaction, hormis son contexte commercial, est réaliste et va dans le bon sens (enfin le mien)
ceci me laisse penser que des règles de déontologie minimum devraient être lié à l’adhésion UNDI et que celles-ci devraient être connu et accessible par tous (ODI et Client d'ODI)
il me semble que cette réaction, hormis son contexte commercial, est réaliste et va dans le bon sens (enfin le mien)
ceci me laisse penser que des règles de déontologie minimum devraient être lié à l’adhésion UNDI et que celles-ci devraient être connu et accessible par tous (ODI et Client d'ODI)
HH- Adhérent
- Messages : 479
Date d'inscription : 23/07/2012
Age : 58
Localisation : 68 -> ALSACE & 21 -> BOURGOGNE
Déontologie
Effectivement, je pense souhaitable d'avoir un engagement en ce sens avec une charte déontologique.
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